Les artisans, la famille, les cousins, les copains de Larfeuille
Depuis les premières heures d'existence du projet jusqu'à aujourd'hui, ils sont notre crew, issus de tous les milieux, de communautés très différentes, ils adhèrent et soutiennent notre démarche, nous permettent de garder les pieds sur terre, et de rêver très fort.

Romain Lessafre
Responsable des trucs importants
Cette semaine c’est le tour de mon camarade Romain aka Château Brutal de passer à notre gentille moulinette.
Musicien, comédien, reporter, directeur de création, auteur, chevalier du taste-vin du calembour, bref c’est un peu Remi Brica en moins bien peigné, un peu plus rock et trop cool 😀
Comment nous sommes nous connus ?
Il y a quelques années via Caroline A., sans doute dans un bar. Où d’autre ?
Depuis de nombreux apéros, des soirées, des projets et des échanges, toujours enrichissants, toujours drôles. (oui, j’ai repiqué cette phrase à Caroline A)
Quel est ton métier ?
J’ai pas un métier, plutôt plein d’activités professionnelles, généralement créatives, qui se croisent.
Je suis responsable des trucs importants chez Bazar Général, co-fondé avec Caroline Ales, qui propose d’apporter du fun en entreprise, je suis aussi auteur du livre « L’étonnant pouvoir du trac » qui est sorti le 17 mars (oui je fais de la promo au passage), je suis aussi auteur/curateur/responsable des gaufrettes de la Fédération Française de Calembours avec le patron de Larfeuille. Ancien de la pub, je fais aussi de la DA et de la rédaction sur des projets qui m’amusent. Et vous m’avez peut-être vu dans Airnadette, sous le nom de Château Brutal.
Que trouves tu d’intéressant ou qui t’interpelle dans le projet Larfeuille Paris ?
C’est tout ce que j’aime : sincère, authentique, intelligent et beau. Et le nom est tellement cool !
Ton Larfeuille à toi c’est lequel ?
J’ai commandé une magnifique pilule noir de jais, pour l’anniversaire de Caroline A (oui encore elle !). Il déborde de trucs en permanence !
As-tu un engagement ou une cause qui te tient à coeur ?
Oui, je soutiens le calembour sous toutes ses formes. Je suis contre l’ostracisation de ceux qui font des jeux de mots que l’on qualifie - à tort - de pourris. Faire un calembour, c’est sculpter la langue française, la pétrir, la chérir. Il faut apprendre à aimer cet artisanat de la vanne à sa juste valeur. Merde je pleure tellement c’est beau.
Caroline Ales
Inspectrice des travaux finis
Caroline c’est quasiment une définition du rock’n’roll à elle seule.
Entrepreneuse, engagée cultivée, généreuse, fan de musique et avec qui on peut faire des pogo pendant un concert ou partager des blagues débiles :) ce n’est pas tous les jours qu’on croise des personnalités comme la sienne !
Comment nous sommes nous connus ?
Il y a environ 6 ans, une rencontre orchestrée par deux bonnes fées, @Alex K et @Rosane M, pour un projet artistique et solidaire qui n’a pas vu le jour, enfin pas pour l’instant…
Depuis de nombreux apéros, des soirées, des projets et des échanges, toujours enrichissants, toujours drôles.
Quel est ton métier ?
J’ai deux jobs : je suis consultante en communication via La Curieuse et chez Bazar Général (https://bazar-general.com) , co-fondé avec Romain L, qui propose d’apporter du fun en entreprise, je suis inspectrice des travaux presque finis.
Que trouves tu d’intéressant ou qui t’interpelle dans le projet Larfeuille Paris ?
J’aime l’idée : faire avec ses mains, mettre en avant des savoir-faire magnifiques
J’aime l’état d’esprit : local, artisanal, responsable, esthétique et demain solidaire
J’aime sa mise en œuvre : modeste, simple, au cœur de Paris et à des tarifs justes
J’aime son design : intemporel et élégant
Ton Larfeuille à toi c’est lequel ?
Une magnifique pilule noir de jais, offert par mon homme pour mon anniversaire. Livrée par miracle, en plein confinement, retrouvée après une chasse aux trésors au fin fond de
l’Aveyron, que j’utilise dès que je sors (en ce moment principalement pour faire des courses). Je passe commande pour le prochain : un sac XXL, solide et souple, un fourre-tout pour mettre un ordi, un cahier, un livre, une gourde, avec une accroche pour un casque de vélo. On pourrait l’appeler le Grand Bazar.
As-tu un engagement ou une cause qui te tient à coeur ?
Un féminisme de tous les jours, qui ne laisse rien passer, notamment du sexisme ordinaire qui sévit partout, encore aujourd'hui. Ne pas se taire, ne pas s’excuser, prendre notre juste place. Dans mon job, dans ma vie perso : mettre en avant les femmes, rendre leurs projets et leurs expertises visibles, les croire. Dire et redire aux petites filles, aux ados, aux femmes que tout est possible et qu’elle ne seront pas seules.
Antonin Maurel
Clown en chef
Antonin fait partie de ces personnes que l’on croise et qui ne peuvent vous laisser indifférent. On n’en fait plus beaucoup des comme lui ! Capables mobiliser ses potes clowns et de partir au débotté dans un pays en guerre, (https://www.clowns-sans-frontieres-france.org) pour y faire une des choses les plus incroyablement compliquée du monde : faire rire des enfants en zone de conflit.
Comment nous sommes nous connus ?
On s’est rencontrés à plusieurs occasions il y a des années, d’abord de par la bande de la favela chic ou j’ai travaillé et ensuite dans nos projets à « Clowns sans frontières ». Nous avons eu très vite des points d’intérêt communs, artistiques et humanitaires. Et comme tu es d'abord une personne pragmatique, curieuse sans certitude, et qui écoute d’abord avant d’affirmer nous étions fais pour nous entendre .
Quel est ton métier ?
Je fais des spectacles musicaux. Je suis chanteur, acteur, compositeur et performer.
J’ai travaillé pour et avec JEROME SAVARY, VICTORIA CHAPLIN, MICHEL LEGRAND , ALAIN BASHUNG, PHILLIPPE DECOUFLE , le CRAZY HORSE, Clowns blanc au « CIRCO PRICE DE MADRID » er acteur dans une vingtaine film ciné ou TV…J'ai fondé « Clowns Sans Frontières » France en 1993 et aussi édité un livre de photographie sur les parisiens « METROPOLITUDE» …..
Que trouves tu d’intéressant ou qui t’interpelle dans le projet Larfeuille Paris ?
Le projet larfeuille me plait car il cherche à créer d’abord un outil de qualité, ergonomique, écologique et esthétique en privilégiant la simplicité. Et c’est la que ça se complique :) c’est un projet simple mais pas simpliste. C’est une performance éthique qu’il faut soutenir sans hésiter .
Ton Larfeuille à toi c’est lequel ?
Une maquisarde jaune Safran
J’aime beaucoup ce modèle pour voyager . C’est un joli objet en cuir qui ne fait pas" Babacool » ni trop précieux comme « Hermès »:)
As-tu un engagement ou une cause qui te tient à coeur ?
Mon engagement ça à été bien sûr Clowns Sans Frontières pendant 25 ans .
Mais par exemple mon petit geste simple quotidien et écologique c’est de boire l’eau du robinet par exemple . Nous avons la chance d’avoir de l’or qui coule de nos robinets sur la quasi totalité du territoire Français il faut le protéger !
Stéphane de Freitas
Changemaker
Fondateur d’Eloquentia (Eloquentia.world), réalisateur du film documentaire nommé aux Césars ("A voix haute, la force de la parole") et plus récemment de "Solidarités" sur Netflix, Stéphane est un type extra ordinaire au sens propre du terme. Il est capable de bouger des montagnes et il a décider de mettre toute son énergie, sa créativité et sa force de conviction au service des autres.
Comment nous sommes nous connus ?
On s’est connus il y a quelques années, via une amie commune réalisatrice et femme très engagée, Lisa. Elle a pensé qu’on aurait sans doute, au vu de nos projets et engagements communs, des choses à se dire. Depuis on est devenus de super amis. Et tu as dalleurs pris ma succession comme président bénévole d’Eloquentia :)
Quel est ton métier ?
Je suis entrepreneur social et artiste (réalisateur et peintre) . J’ai fondé Eloquentia et en ce moment je développe un réseau social d’entraide que j’ai créé, INDIGO (https://indigo.world/fr/), qui permet aux gens d’échanger gratuitement des biens et des services en proximité.
Que trouves tu d’intéressant ou qui t’interpelle dans le projet Larfeuille Paris ?
Ce que j’aime c’est la démarche et la beauté des produits, la traçabilité . La démarche sociale est évidemment hyper importante, et puis la personnalisation, la proximité avec les gens, pour recréer du lien et de la proximité.
Ton Larfeuille à toi c’est lequel ?
Je kiffe le mien , un maquisard jaune safran qui se patine super bien.
As-tu un engagement ou une cause qui te tient à coeur ?
L’oralité. Apprendre à créér du dialogue ensemble, tout ce qui touche à la prise de parole éducative et réapprendre à dialoguer dans un monde à voix multiples. Du pont de vue social et environnemental, pousser les gens à l’entraide locale et le réemploi des choses dont on ne se sert plus, notamment via INDIGO.

Max
Mixologiste extra-terrestre
Max c'est une rencontre étonnante. Un jeunot féru de cinéma et de choses bien faites. Il fait des cocktails de dingo, poétiques, il pense et il écrit avec un style que j'adore. Avec des gars comme lui, la relève est prête :)
Comment nous sommes nous connus ?
Ah Il Fenomeno ! Si mes souvenirs sont bons, notre rencontre s’est faite via cette sainte femme de Rosane Mazzer. Un soir d’hiver 2019, 9eme arrondissement, bar Imago. Rosa t’avait booké toi et ta team de barlous pour un concert délirant où vous repreniez les standards du Rock de papa. Il faisait un froid de canard dehors mais vous avez réchauffé l’ambiance comme personne. On se serait cru au concert de Queen à Wembley en 1987. Je dansais torse nu sur le zinc, c’était beau. Puis tu m’as demandé un Old Fashioned. Tu m’as dit qu’il était exceptionnel, du coup je t’en ai offert un deuxième et depuis on est devenu pote
Quel est ton métier ?
A l’origine j’ai une formation d’historien et d’anthropologue puis j’ai fait un peu de consulting avant de me tirer de ce merdier pour revenir à mes premières amours, les métiers de la restauration. Quand on s’est croisé j’étais chef barman dans le resto de Rosane. Aujourd’hui j’habites à Bruxelles et je prépare un retour en fanfare sur Lutèce pour 2022 avec un joli projet de bar rétro-futuriste.
Que trouves tu d’intéressant ou qui t’interpelle dans le projet Larfeuille Paris ?
Larfeuille déjà rien que la blase, ça me donne envie de fumer un paquet de Gauloise sans filtre et mater un film de Melville. Jérôme tu sens que le type il fait les bails à l’ancienne. Dans le mille, 100% fait main. Chez Larfeuille on prend le temps de respecter ce produit noble qu’est le cuir français. On essaie d’être respectueux des hommes et de la Terre aussi et ca, je dois dire que ca me plait. Et puis pas de chichi, j’aime les pièces sobres et élégantes. Pas de froufrou, les lignes sont pures, c’est clair, c’est carré.
Et puis au-delà de tout ça, l’idée de pouvoir partager son expertise et ses connaissances avec le plus grand nombre me touche beaucoup. Grâce à lui plein de types ont pu avoir un taf qui fait sens et se remettre en selle.
Ton Larfeuille à toi c’est lequel ?
Mon premier Larfeuille, je l’ai offert à La Mama pour son anniversaire en mars 2020. Un modèle maquisard couleur Safran avec lanière. Elle était aux anges, elle s’en sert d’ailleurs quotidiennement. Cette saleté de confinement m’a empêché de lui offrir en personne, du coup c’est mon Jérôme qui s’est occupé, en plein confinement, de lui envoyer le paquet pour qu’elle le reçoive en Normandie pour le D-Day. Un seigneur je vous dis.
As-tu un engagement ou une cause qui te tient à coeur ?
La justice sociale, l’amour universel, un monde meilleur pour tous les damnés de la Terre, l’union de la gauche pour 2022. Dont’ dream boy !
Plus concrètement, j’ai de la famille qui vit toujours à Port-au-Prince en Haiti. A travers mon travail j’essaie de mettre en avant la culture haïtienne, ses écrivains ( Depestre, Lafferière), sa gastronomie ( poulet Djon-Djon, soupe joumou) et ses eaux-de-vie ( les Clairins, le rhum Barbancourt)…
Dans le tiers-lieu que je vais créer avec mon associé, j’espère pouvoir véhiculer de beaux idéaux comme la tolérance, l’ouverture d’esprit, la déglingue aussi ! Permettre à chacun de se retrouver, de discuter, de penser, de réfléchir en sortant de l’entre-soi et du culte des écrans. Amen.

Rosane Mazzer
Magicienne
Rosane, c’est un peu comme une soeur. On a créé de magnifiques projets ensemble et on réfléchit toujours au prochain, qui mêlera nécessairement la création, l’utilité sociale, la fête et le vivre ensemble.
Comment nous sommes nous connus ?
Dans une autre vie ? Hehe ! Je dirigeais mon club brésilien à Paris La Favela chic, tu y venais prendre une vibe tropical souvent. On a sympathisé immédiatement et tu m’as proposé d’y accueillir des événements en parrainage des actions sociales dans la Favela du Vale Encantado, à Rio. Et ensuite, d’être marraine du projet. Notre force conjointe a fini par lancer un festival éco-responsable lors du sommet de la Terre en 2012 au Brésil.
Quel est ton métier ?
J’ai créé et développe des lieux de vie. Maintenant en version nature, à venir un gite de détente et festif autour du vin nature : @lapanzanature
Il me semble essentiel de promouvoir les rencontres autour du beau. Manger, boire, se cultiver, s’inspirer. Mon mantra? La vie c’est l’art de la rencontre!
Que trouves tu d’intéressant ou qui t’interpelle dans le projet Larfeuille Paris ?
D’abord c’est classe. Les pièces sont sublimes, bien faites, et respectueuses du vivant dans toute la chaine de production. Tanins végétaux, fabrication artisanale, local, durable et réparable. Et puis derrière il y a toi Jérome, et tu sais créer des projets vertueux !
Ton Larfeuille à toi c’est lequel ?
Le maquisard était le premier. Un portefeuille pliable et sans coutures. Un vrai bijou du design. Maintenant j’ai pris un sac pilule vert, moderne et chic au même temps. Larfeuille ce sont des pièces que tu as envie de garder toute une vie, c’est rare !
As tu un engagement ou une cause qui te tient à coeur ?
L’engagement majeur est de faire du bon et du beau autour de soi. Avoir une éthique et s’y tenir. La nature m’apprend beaucoup aussi. Dans ma sphère pro c’est travailler avec un sourcing qui est cohérent avec la la préservation de la nature et des bonnes pratiques. Recyclage, upcycling, soutient des artisans, agriculture raisonnée, circuits courts.
Car le pouvoir va où nous mettons notre argent. Cette maxime est à la porte de nous tous ! Donc watch out !
Yarol Poupaud
Musicien
Yarol est musicien depuis toujours, guitariste hors pair avec une carrière de dingue que pouvez découvrir comme un road trip avec une bande son géniale dans son livre sorti récemment « Electrique » que je vous recommande chaudement.
On s’est rencontrés à Rio, lors d’un moment de break du Festival Encantado que j’ai créé et organisé avec Rosane Mazzer et Jerome Pigeon de 2012 à 2014.
En 2014 il y avait la coupe du monde de football au Brésil, nous avons donc tout naturellement proposé à FFF de venir se produire durant le Festival.
Un jour de relâche, tout le monde est parti à la plage, Yarol souhaitait connaitre un peu mieux la ville, s’y promener, la sentir. Comme j’y ai habité et travaillé pendant des années, je l’ai donc emmené en ballade toute la journée. Notamment dans les lieux moins touristiques.
C’est comme ça que nous avons commencé à discuter et que j’ai commencé à apprécier le bonhomme, curieux cultivé. En fin de journée nous sommes allé découvrir ce qui doit être un des lieux les plus incongrus que je connaisse.
Dans un immeuble d’habitation quelconque dans le quartier de Copacabana, nous avons découvert au 4e étage au long d’un couloir interminable, 3 appartements transformés en magasin de guitare et d’effets. Fermés à la vue de tous mais regorgeant de matériel et d’instruments.
Yarol n’est pas revenu les mains vides :)
On s'est connu comment ?
« à Rio de Janeiro pour un concert FFF , c’est la classe non ? »
Quel est ton métier ?
« Musicien »
Qu’est qui te plaît dans projet Larfeuille ?
« J’aime le cuir, tout est dit ! Et on parce que on a tous besoin d’un bon Larfeuillle. Au delà de ça, ça m’intéresse qu’on se lance dans une réflexion sur un élément essentiel pour un guitariste : les sangles de guitare. »
NDL : on en reparlera bientôt :)
C’est lequel on larfeuille ? « Le Daron bien sûr ! »
Y-a-t-il une cause, un truc qui te tiennent à coeur ?
« Que les artistes puissent rebosser, de pouvoir remonter sur scène vite et partager les moments avec le public ».
Rubi
Upcycling Queen
Rubi est une des portes étendard de la jeune garde qui fait et va faire bouger la mode. Elle développe une approche hyper connectée et consciente du ré-usage et du do it yourself, complètement ancrée dans l'air du temps.
www.instagram.com/rubipigeon ou www.instagram.com/rusmin.fr
On s'est connu comment ?
"Par le biais de mes parents , tu travaillais avec eux sur des projets culturels et sociaux."
Quel est ton métier ?
"Je suis consultante en marketing digital et je développe une marque : Rusmin, qui bosse sur la mode/une mode eco responsable et alternative"
Qu’est-ce qui te plaît dans le projet Larfeuille?
"La simplicité du design. Moi quand je crée je ne suis pas du tout dans le moins. Tout ce qui est fait pour avoir le moins de possibilités de casser, tout est fait pour être réparé, je trouve ça pensé de manière intelligente, on voit qu’il y a de la réflexion derrière."
C'est lequel ton larfeuille ?
"Proud owner d’un Crobe, porte-carte qui a révolutionné ma vie :) la personnalisation est hyper importante car ayant une soeur jumelle, si je peux mettre mon nom sur mes affaires, je le fais :)"
Y-a-t-il une cause, un truc qui te tiennent à coeur ?
"Un engagement que je partage avec Larfeuille, sur l’eco responsabilité, la transparence sur le sourcing. J’aime bien savoir que c’est fais à paris, dans le 11e : c’est précis. C’est traçable. J’aime bien. En plus ça sensibilise les gens car quand tu sais d'où vient ton produit, tu te poses plus naturellement la question d’ou viendront tes prochains achats".
Jérôme Pigeon
DJ, directeur artistique
Pour ceux qui le découvrent, Jérôme est un producteur musical de génie, c’est une encyclopédie vivante de la musique et du rock en particulier, il a accompagné le succès de Seu Jorge, produit le tout dernier morceau de Jeanne Moreau et bien d’autres, il est aussi le co-fondateur et maître des platines de la Favela Chic qui a endiablé les nuits parisiennes et londoniennes pendant 20 ans . Ses playlists mythiques d’éclectisme et de joie de vivre sont aujourd’hui des références dans le monde entier, cadeau en voici une : https://m.soundcloud.com/gringodaparada/patatadonf-mano-28022017
On s'est connu comment ?
« On s’est rencontrés à l’occasion d’un projet particulièrement excitant : La création du Festival Encantado, premier festival international de musique dans une favela à Rio de Janeiro »
Quel est ton métier ?
"DJ et directeur artistique musical"
Qu’est-ce qui te plaît dans le projet Larfeuille?
« J’aime Larfeuille d’abord pour la qualité de ses produits, ensuite parce que j’aime voir mes amis réaliser de belles choses, parce que ma cousine Pauline est de la partie et enfin parce qu’étant particulièrement malhabile de mes mains je suis très admiratif de ceux qui savent « fabriquer » »
C'est lequel ton Larfeuille?
"Le Crobe, avec mes initiales"
Y-a-t-il une cause, un truc qui te tiennent à coeur ?
« La reformation d’OASIS »
Caroline de Maigret
Productrice
Aujourd’hui j’ai envie de partager avec vous un échange avec @carolinedemaigret. Ce que j’apprécie au plus haut point chez elle c’est sa franchise et la manière dont elle s’engage au quotidien: généreuse, pas m’as-tu-vu, efficace et classe. Bref, rare. elle a tellement de casquettes qu’une seule ne peut la résumer:) alors voici un petit aperçu.
On s'est connu comment ?
"C’était il y a 5 ans par l’entremise de Yarol, mon mec. Il a eu l’intuition qu’on avait peut-être des sujets sur lesquels on pouvait se retrouver. Du coup on a démarré une discussion commune sur la manière de combiner nos engagements respectifs autour de la solidarité, la mode, l’utile. Et c’est ce que l’on fait depuis."
Quel est ton métier ?
Je suis productrice, de musique, de films.
Qu'est-ce qui te plaît ou t’interpelle dans le projet Larfeuille ?
"L’artisanat, la chaîne de travail respectée et le sourcing contrôlé me réjouissent.Aussi, que tu es très à l’écoute de ton entourage. Et du coup on retrouve cette générosité dans ton travail. On sent que c’est pour faire de la bonne façon et nous servir, même si c’est à travers un acte plaisir qu’est l’achat"
Ton Larfeuille c’est lequel ?
"Le Maquisard, portefeuille que j’utilise comme porte-passeport.Je suis une grande voyageuse, c ‘est un élément essentiel, je le sors tout le temps, du desk à l’aéroport, au comptoir de l’hôtel. Il apporte une petite touche chic qui me plait sans être ostentatoire."
Y-a-t-il une cause, un truc qui te tiennent à coeur ?
"Il y en plusieurs ! Mais il faut avant tout que cela soit concret, tangible. Je m‘engage en étant sur le terrain, en levant des fonds et en communiquant. Je suis mobilisée à lutter contre toutes les formes de précarités, notamment avec le Secours Populaire (www.secourspopulaire.fr). La lutte contre les violences en général et tout ce qui touche à l’éducation des jeunes générations sont également des thématiques sur lesquelles je tente d’être active."
Guillaume Cartigny
Brand Strategist
Let me introduce you to Guillaume Cartigny.
Guillaume est un ami très proche, il a suivi toutes les étapes qui ont mené à la création de Larfeuille. Il a également participé ou lancé avec moi d’autres projets à vocation sociale. Il fait partie des personnes rares, sur qui je sais pouvoir me reposer pour un conseil, une idée ou juste prendre un verre et parler de la vie.
Comment s'est on connu ?
"Ça fait déjà 20 ans, tu étais le beau-frère d'un pote, avant de devenir LE pote. J'ai plusieurs métiers à vrai dire."
Quel est ton métier ?
"Le vrai, officiellement c'est de bosser sur des stratégies de marques et d'essayer de rendre leur discours un peu plus concret, un peu plus vrai.Je suis aussi prof à temps partiel, et je crée aussi des "trucs", qui parfois se vendent. De la menuiserie, de la peinture, de la sculpture au gré des envies qui changent souvent."
Qu'est-ce qui te plaît ou t’interpelle dans le projet Larfeuille Paris ?
Le paradoxe entre son extrême facilité et sa grande complexité. Au niveau des produits que de la démarche. Simple d'usage, simple à fabriquer. Mais complexe dans sa conception et dans la mise en œuvre d'une démarche d'entrepreneuriat social.
Ton Larfeuille c’est lequel ?
"Mes Larfeuille. J'en ai 3 dont 2 qui me sont indispensables.Le premier c'est un Maquisard. J'ai tout dedans, j'ai même trouvé une minuscule batterie de secours qui y rentre parfaitement, il ne me quitte jamais, ou plutôt il ne quitte jamais mon sac.Le deuxième c'est un crobe. J'y mets mon pass navigo, un peu de liquide, parfois une CB. C'est lui que je prends avec moi quand je veux me balader les mains dans les poches.Le troisième, un Origa n'a pas encore trouvé sa place. Mais je le trouve magnifique.
Y-a-t-il une cause, un truc qui te tiennent à coeur ?
Plus d'engagement depuis l'épopée Abaquar* avec Jérôme déjà, qui a renforcé ma sensibilité pour l'éducation dans sa démocratisation et dans son adaptation aux différents publics.*Abaquar était une ONG Franco-brésilienne avec laquelle nous avons développé nombre de projets à Rio entre 2000 et 2014."